Personnages andelysiens
Ces hommes et femmes qui sont nés, ont vécus, sont venus ou ont laissé un héritage aux Andelys, qui ont enrichi cette ville par leurs talents, leurs actes, leur influence ou le récit de leur bravoure
Sainte Clotilde
Pour la Collégiale Notre-Dame une commande de trois tableaux (réalisée entre 1610 et 1612) est faite à Quentin Varin artiste originaire de Beauvais. Quand Varin réalise ses tableaux il rencontre un jeune andelysien de 16 ans : Nicolas Poussin. Poussin montre ses créations à Varin qui décèle en lui un grand talent de dessinateur. Il continuera sa formation en allant à Paris où il rencontra des poètes, des scientifiques, des amateurs d’art... mais l’apprentissage dans les ateliers de peintre, tel Lallemand ou Elle ne l’intéresse pas et il y reste très peu de temps.
Philippe Auguste
Pour la Collégiale Notre-Dame une commande de trois tableaux (réalisée entre 1610 et 1612) est faite à Quentin Varin artiste originaire de Beauvais. Quand Varin réalise ses tableaux il rencontre un jeune andelysien de 16 ans : Nicolas Poussin. Poussin montre ses créations à Varin qui décèle en lui un grand talent de dessinateur. Il continuera sa formation en allant à Paris où il rencontra des poètes, des scientifiques, des amateurs d’art... mais l’apprentissage dans les ateliers de peintre, tel Lallemand ou Elle ne l’intéresse pas et il y reste très peu de temps.
Richard Cœur de Lion
Pour la Collégiale Notre-Dame une commande de trois tableaux (réalisée entre 1610 et 1612) est faite à Quentin Varin artiste originaire de Beauvais. Quand Varin réalise ses tableaux il rencontre un jeune andelysien de 16 ans : Nicolas Poussin. Poussin montre ses créations à Varin qui décèle en lui un grand talent de dessinateur. Il continuera sa formation en allant à Paris où il rencontra des poètes, des scientifiques, des amateurs d’art... mais l’apprentissage dans les ateliers de peintre, tel Lallemand ou Elle ne l’intéresse pas et il y reste très peu de temps.
Nicolas Poussin
Né en juin 1594 à Villers, hameau des Andelys, Nicolas Poussin évolue dans une famille aisée, il recevra une éducation générale probablement chez les jésuites à Rouen Pour la Collégiale Notre-Dame une commande de trois tableaux (réalisée entre 1610 et 1612) est faite à Quentin Varin artiste originaire de Beauvais. Quand Varin réalise ses tableaux il rencontre un jeune andelysien de 16 ans : Nicolas Poussin. Poussin montre ses créations à Varin qui décèle en lui un grand talent de dessinateur. Il continuera sa formation en allant à Paris où il rencontra des poètes, des scientifiques, des amateurs d’art... mais l’apprentissage dans les ateliers de peintre, tel Lallemand ou Elle ne l’intéresse pas et il y reste très peu de temps.Il faut se souvenir que Nicolas Poussin n’est pas issu d’une famille de peintre et n’a pas reçu de formation au sein d’un atelier de peintre comme ses contemporains Vélasquez (1599-1660) ou Rembrandt (1606-1669). Il faut savoir que Vélasquez commence sa formation à l’âge de 10 ans dans l’atelier de Franscico de Herrera et Rembrandt lui commencera sa formation en atelier à 14 ans.Cette originalité dans la formation de Nicolas Poussin peut expliquer la grande liberté dans sa carrière. Il fera rarement de grands tableaux pour les rois ou les papes, mais plutôt des petits formats pour des collectionneurs amateurs.
Jacques Stella
Pour la Collégiale Notre-Dame une commande de trois tableaux (réalisée entre 1610 et 1612) est faite à Quentin Varin artiste originaire de Beauvais. Quand Varin réalise ses tableaux il rencontre un jeune andelysien de 16 ans : Nicolas Poussin. Poussin montre ses créations à Varin qui décèle en lui un grand talent de dessinateur. Il continuera sa formation en allant à Paris où il rencontra des poètes, des scientifiques, des amateurs d’art... mais l’apprentissage dans les ateliers de peintre, tel Lallemand ou Elle ne l’intéresse pas et il y reste très peu de temps.
Thomas Corneille
Pour la Collégiale Notre-Dame une commande de trois tableaux (réalisée entre 1610 et 1612) est faite à Quentin Varin artiste originaire de Beauvais. Quand Varin réalise ses tableaux il rencontre un jeune andelysien de 16 ans : Nicolas Poussin. Poussin montre ses créations à Varin qui décèle en lui un grand talent de dessinateur. Il continuera sa formation en allant à Paris où il rencontra des poètes, des scientifiques, des amateurs d’art... mais l’apprentissage dans les ateliers de peintre, tel Lallemand ou Elle ne l’intéresse pas et il y reste très peu de temps.
René Sautin
René Sautin naît à Montfort-sur-Risle en 1881 dans le même village que le célèbre peintre Albert Lebourg qui fut son ami et son maître. Après des études secondaires à Montfort sur Risle et à Pont-Audemer, René Sautin entre aux Beaux-Arts de Rouen dans l’atelier du peintre académique Philippe Zacharie. Ensuite à Paris, il étudie dans l’atelier Ferrier où il reçoit les conseils d’Albert Lebourg. Il entre alors aux Indépendants avec Signac et Luce. Il se marie en 1903 avec Marthe et se fixe aux Andelys en 1911. Il va se lier d’amitié avec de grands peintres de l’époque : les fils Pissarro, Signac, Luce, Derain, Guillaumin, Lebasque, Bigot, Gernez qui se retrouvaient aux Andelys pour peindre sur les bords de Seine. René Sautin est un véritable amoureux des Andelys. Il ne cesse de peindre la Seine, les quais du Petit-Andely et le Château Gaillard. Il peint très souvent aux mêmes endroits, mais à chaque fois c’est une œuvre nouvelle qu’il crée déclinant le même sujet en « variations ». Son œuvre va se métamorphoser accompagnée d’un dessin puissant cerné de noir. Devenant progressivement aveugle, l’artiste compense sa perte de vision par des couleurs de plus en plus agressives.
Il arrête de peindre définitivement en 1964, quatre ans avant son décès le 23 juillet 1968.
Françoise Baron
Ancienne élève de l’Ecole du Louvre.
Marcel Lefèvre
Pour la Collégiale Notre-Dame une commande de trois tableaux (réalisée entre 1610 et 1612) est faite à Quentin Varin artiste originaire de Beauvais. Quand Varin réalise ses tableaux il rencontre un jeune andelysien de 16 ans : Nicolas Poussin. Poussin montre ses créations à Varin qui décèle en lui un grand talent de dessinateur. Il continuera sa formation en allant à Paris où il rencontra des poètes, des scientifiques, des amateurs d’art... mais l’apprentissage dans les ateliers de peintre, tel Lallemand ou Elle ne l’intéresse pas et il y reste très peu de temps.
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